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Comment choisir le meilleur chirurgien de la cataracte à Paris ?

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Avant de se faire opérer de la cataracte, il est légitime d’être un peu anxieux et de s’interroger sur les critères de choix du chirurgien. Ceux-ci sont divers mais, quoi qu’il en soit, les professionnels formés en France pour ce genre de traitement ont tous bénéficié d’un enseignement de qualité et, par ailleurs, les complications de la chirurgie de la cataracte sont extrêmement rares.

 

Est-il risqué de se faire opérer de la cataracte ?

Le risque zéro n’existe pas en chirurgie et l’intervention d’extraction et de remplacement du cristallin devenu opaque ne fait pas exception à cette règle. Ainsi, certaines complications peuvent effectivement survenir en théorie de façon per ou post-opératoire : hémorragie choroïdienne expulsive, rupture capsulaire postérieure, œdème maculaire, décompensation cornéenne, endophtalmie, atteinte rétinienne (déchirure ou décollement) etc.

Cela étant dit, même si cette liste peut paraître impressionnante, près de 500 000 personnes sont opérées chaque année de la cataracte sur le sol national et le taux d’occurrence des complications, bénignes ou sévères, est extrêmement bas, de l’ordre de 1,5%.

Sur la base de ces chiffres, il convient donc de considérer la chirurgie de la cataracte comme un traitement extrêmement peu risqué. Ainsi, au moment de choisir un chirurgien pour se faire opérer, le patient doit avant tout se rassurer : quel que soit le praticien choisi, le traitement se soldera presque à coup sûr par un succès et un nouveau confort visuel.

 

Chirurgien pour se faire opérer de la cataracte : quels critères de choix ?

En la matière, l’aspect humain et relationnel ne doit pas être négligé : il faut avoir confiance en son chirurgien. Il a par ailleurs un devoir déontologique d’information du patient et doit répondre à l’ensemble des questions que se pose ce dernier. Un patient bien informé, qui comprend le but et le principe du traitement, est un patient plus détendu.

Plus pratiquement, le parcours du patient se décompose en trois phases essentielles : le bilan préopératoire, l’intervention proprement dite et la convalescence. Ainsi, il est de loin préférable de s’adresser à un praticien à même de prendre en charge ce processus dès le début.

Cela nécessite qu’il ait à sa disposition l’ensemble des équipements nécessaires à un bilan préopératoire rigoureux. Les objectifs de celui-ci sont divers mais tous primordiaux. Il s’agit notamment de localiser des zones d’opacité du cristallin à la lampe à fente ou l’ophtalmoscope, d’éliminer l’hypothèse d’une autre pathologie (déchirure de la rétine, glaucome, DMLA…) et de réaliser les tests biométriques appropriés pour calculer la puissance exacte de l’implant nécessaire.

Ensuite, au cours de l’intervention, la qualité des gestes chirurgicaux est globalement homogène d’un chirurgien à un autre. L’expérience du praticien reste cependant un critère important. Pour l’évaluer, il peut être utile de se rendre sur des forums spécialisés ou même le site du chirurgien lui-même : des avis de patients y sont souvent disponibles.

Enfin, il ne faut pas négliger l’importance du suivi post-opératoire, dont le but est de s’assurer de la bonne évolution du patient et de détecter au plus tôt une éventuelle complication. La disponibilité du praticien au cours de la phase de convalescence est donc aussi un aspect important, bien sûr pour les consultations de suivi programmées mais aussi pour des échanges non planifiés, notamment en cas d’inquiétude du sujet opéré.

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